Le mal le plus sournois. Le sabotage de mon mental. . Je sombre dans des gouffres abyssales. Je me meurs. Les tripes à l'air d'imaginer mes enfants sans moi.
J'ai encore plus mal au dos, au ventre. Je me ratatine sur place. Je commence mon agonie. Un petit tour sur internet sur les statistiques pour l'accélérer la descente et je pousse la porte du cimetière, je me retrouve devant mon caveau. Prête.
Mes pensées. Sacré peloton d'exécution.
Putain, quel travail de remonter ensuite. En ce moment j'essais de ne pas entendre les sirènes du bas, quand elle commence à m'appeler. Que nenni je reste en haut avec ma bande de potes de l'espoir.
Avec eux, je vis, je vibre. Je ris. Et je regarde l'horizon. Un lever de soleil au petit matin sur la plage abandonnée. Les mouettes en ballet. Les embruns qui fouettent mon visage. Un sourire sur mes lèvres.
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