Je vois bien comme je reviens plombée de l’hôpital. J'y ai vu , entendu des morceaux de l'égrégore. Certains médecins sont des as pour ne formuler que de l'avenir trés incertain, rarement de l'espoir.
Se plaindre s'est se rouler dans cet égrégore. C'est énoncé haut et fort mon impuissance. Endosser le rôle de victime.
Alors je sais c'est pas toujours facile, je doute si souvent.
Mais je tente de choisir l'égrégore de la joie, de l'humour, de l'amour et de l'amitié. Car celui là , me stimule, me sort de mon lit, ouvre les portes aux visites et à l'avenir. Une gymnastique de tous les jours. Un bonheur immunitaire qui se cultive à chaque nouveau lever de soleil.
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