Zou je file dans un magasin ..et j'ai déniché LA MERVEILLE, noir à pois blancs. But, but, si je me penche, c'est une vue sur une colline et un vide. Je l'ai laissé dans la cabine, désespérée.
Et ça mouline aujourd'hui dans ma tête, Mardi, je vais l'acheter, je la porterai à la maison ou avec les copines..
J'ai l'impression de m'interdire, me restreindre, m'imaginer que..
Aujourd'hui , tournant, une lecture conseillée par Guy. : La guérison est en soi, de Denis Jaffe, collection Robert Laffont.
C'est un livre qui résonne en moi à chaque page.
Je crois qu'il faut que je méfie comme la peste des "bénéfices secondaires" que je peux retirer de ce cancer. En restant malade, faible, avec des douleurs et aux risques d'en rajouter pour attirer l'attention ...je peux rester physiquement et mentalement dans ce statut...
Un peu ça va , trop cela deviendrait trop pour ceux qui m'entourent. Mon homme.. me l'a dit ce matin. Message bien reçu, d'autant que je suis en forme, au soleil, en toute verticalité.
Ton livre Guy ... décoiffe, heureusement ! j'ai en effet quelques répits avant ma coupe Zidane.
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