lundi 12 août 2013

Marquer d'une pierre verte

Le passage des mélancoliceuses. Ces oiseaux noirs qui ont installés ces derniers temps leurs nids dans mes cheveux. Petits piaillements " tatatililili, tatalioubli". La rencontre de Claude fait encore des vagues qui s'échouent chaque jour sur la plage peureuse de mes pensées. Bon si je continue dans cette poésie à trois balles, ça devient craignos. Il a dit, cela a durer 6 ans, les filles ont eu le temps de se préparer.  Sa dernière a 14 ans comme notre fils. Et puis date d'anniversaire de la mort de maman. Je viens de fermer la dernière page du dernier livre de Didier Van Caulewaert, le père adopté.
Comme une reconciliation tant dans son style, sa reconnaissance envers ce père si prodigue me parle. Me donnant une nouvelle lecture, un nouveau souffle à une histoire qui semblait s'être finis si mal. Alors qu'en fait elle ne faisait que commencer.

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