Un festival qui n'avait pas le gout des autres années.
Regarder partout, rechercher mon semblable.
Prendre en plein face, en plein coeur, tout allusion artistiques aux seins, à la féminité, à la mort.
Attarder mon regard, sur les bustes de femmes qui se dénudent dans cet été où je me sens meurtrière de jalousie.
Des points morts parfois, je me décentre. J'ai beau être au milieu de la foule qui marche, assise à regarder un spectacle.
Zou, je décroche;
Je ne fais plus partie du monde, je suis différente. Aujourd'hui, je vous regarde vivre. Je décroche. Puis zou, je reviens.
Et puis des moments de grande marée de tristesse. ça vient tout doucement, et ça monte, ça monte, ça monte. Rapatriement d'urgence, à l’hôtel, dans la voiture, dans les wcs. Pour chialer tout mon saoul. Même pas de raison. Une immense tristesse, l'amer salée à déverser. Encore et encore.
Très beau billet Pomme, oui, c'est tellement ça.
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